BoJack Horseman, le cheval le plus cynique et déprimé de l’industrie télévisée est de retour le 22 juillet sur Netflix. Et les critiques… comment dire… il les emmerde.
Il est vulgaire, cynique, dépressif, auto-destructeur, ivrogne, égoïste et égocentrique, mais qu’est-ce qu’il nous avait manqué ! BoJack Horseman, l’ex-star chevaline de la sitcom Horsin’ Around, revient pour une saison 3, et on sait déjà, à en juger par le teaser, qu’il sera fidèle à sa réputation.
Si les critiques sont unanimes envers BoJack Horseman, la série, elles sont apparemment moins clémentes envers BoJack, le personnage, dans la série. Vous suivez ? Pas grave, cette mise en bouche méta se chargera de vous remettre les pendules à l’heure.
“Une méditation pleine de nuance sur la dépression”, nous dit le Washington Post. “Un portrait plein d’empathie sur la mélancolie de l’âge mûr” affirme Hitfix. “L’un des meilleurs shows à la télévision” assure Vox.
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“Pfff, les critiques c’est la plaie ! Voilà, c’est ma critique envers les critiques. Deux pouces en bas. Garanti quatre pour cent “frais”. Une étoile. Qu’ils aillent tous bouffer des culs tout plats !”
Visiblement remonté, BoJack nous offre une belle entrée en matière pour la saison 3. Et on n’en attendait pas moins de lui.
