“Dans un programme d’animation, il y a des scènes où un homme plus vieux touche les corps de jeunes filles et jette un coup d’œil à leurs sous-vêtements contre leur gré. Ces scènes n’ont quasiment aucun rapport avec l’intrigue. J’aime beaucoup regarder ce show avec mon enfant chaque week-end, mais c’est aussi inopportun pour de jeunes enfants d’être confrontés à ça dans un dessin animé.”
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Si l’on en croit Comicbook, la BPO qui se charge de l’amélioration des programmes et de l’éthique de diffusion au Japon a pour habitude de ne jamais nommer les programmes concernés par les plaintes. Mais il ne fait pratiquement aucun doute qu’il s’agit bien de Tortue Géniale dans Dragon Ball Super. D’ailleurs, un épisode du dessin animé concentré sur Maître Roshi a récemment été diffusé, dans lequel on le voit regarder sous la jupe d’une jeune étudiante en art martial, nommée Yurin.
Ce n’est pas la première fois que la BPO interpelle le public japonais sur un dessin animé diffusant des actes sexuels malveillants. Le comité d’éthique a déjà épinglé Détective Conan, Mr Osomatsu, Scum’s Wish ou encore Seven Mortal Sins. Si le comportement de Tortue Géniale a de quoi faire hérisser les poils, Dragon Ball Super fait enfin plus de places aux personnages féminins. Dernièrement, une version féminine de Broly et Caulifla, la première femme Super Saiyan, ont débarqué dans l’anime. En espérant que le cas de Maître Roshi soit reconsidéré par les créateurs de l’univers de Dragon Ball.
En France, Dragon Ball Super est diffusée sur Toonami.
