Quand Danny Elfman reprend le générique des Simpson en live à Coachella

Quand Danny Elfman reprend le générique des Simpson en live à Coachella

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Par Carla Ghebali

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Le compositeur Danny Elfman a surpris les festivaliers en les faisant voyager dans l’univers de la série culte.

Vous avez sûrement déjà entendu le générique emblématique du dessin animé Les Simpson. Et si c’est le cas, il est probablement gravé dans votre cerveau. Danny Elfman l’a composé en trois jours seulement, et c’est lors du célèbre festival Coachella qu’il a souhaité faire un clin d’œil à ce thème emblématique du petit écran. Le compositeur légendaire est aussi l’auteur des musiques des films Batman (1989), Edward aux mains d’argent (1990) ou encore Spider-Man (2002). Rien que ça.

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Le compositeur avait promis un “petit show un peu étrange”. Et il ne s’est pas loupé ! Accompagné d’un orchestre, il a offert aux festivaliers des reprises rock de toutes ses musiques cultes de films. Notamment L’Étrange Noël de monsieur Jack, Edward aux mains d’argent, le Spider-Man de Sam Raimi, et les deux films Batman de Tim Burton. Avec des images psychédéliques incroyables accompagnant les fans dans tous ces univers différents.

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Torse nu sur scène, le compositeur a étonné tout le monde du haut de ses 68 ans. Après que cela a fait le buzz aux États-Unis, il s’est exprimé auprès du magazine Variety :

“Je voulais juste sortir exactement comme si vous m’aviez vu il y a trente ou quarante ans. Et ne pas être gêné ou avoir honte de ça. C’est comme, ‘ouais, je suis un vieil homme’. Et puis merde, me voilà.”

Il poursuit :

“Et donc ça [enlever sa chemise] était en quelque sorte spontané. Au bout de la sixième ou de la septième chanson, je me souviens m’être dit : ‘Au diable tout ça. Si quelqu’un m’avait vu en 1990, c’est ce qu’il aurait vu’, et je me suis lancé. C’était juste une partie de la mise en avant de moi-même. C’était la dernière couche, je suppose, de protection, d’armure, et j’ai décidé de l’abandonner aussi. C’était une sorte d’abandon de la dernière petite protection que j’avais entre moi maintenant et mon passé, ce que je suis et ce que j’étais. Et ce n’était pas quelque chose que j’ai décidé à l’avance.”