J’aimerais en faire partie. Vince Gilligan et Breaking Bad ont changé ma vie. Ils m’ont permis d’avoir des opportunités que je n’aurais pas eu autrement. J’en suis tellement reconnaissant. Donc oui, si Vince Gilligan m’appelle aujourd’hui et me dit : ‘Je veux que tu sois dans Better Call Saul’, je dirais oui avant même qu’il ne finisse sa question !”
Ca n’est pas arrivé jusqu’ici. Nous verrons comment cela va se passer. J’adore cette série. Et je suis vraiment chanceux de la façon dont tout cela a tourné pour moi.
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“Je supplie Vince Gilligan de ne rien me spoiler sur Better Call Saul !”
Je prends vraiment du plaisir à regarder Better Call Saul. Je rentre dans une atmosphère connue : la ville d’Albuquerque et ses alentours, les personnages. Toute cette expérience m’est familière et en même temps, l’histoire est très différente. Ce n’est plus Walter White le centre, mais Jimmy McGill. Je regarde donc la série avec une perspective nouvelle.
Quand je vois Vince Gilligan, je lui supplie de ne rien me dire ! (rires) Je veux vivre la série comme un vrai fan et pas comme un ‘insider’. Je l’apprécie de cette façon.
Nul doute que le showrunner de Better Call Saul se garde cette apparition et celle de Aaron ‘Jesse Pinkman’ Paul sous le coude, probablement lors de la dernière saison du spin-off.
En attendant ce jour béni, les fans de Bryan Cranston pourront le retrouver au cinéma dès le 27 avril prochain. Il incarne le rôle-titre du biopic Dalton Trumbo, scénariste de génie dans le Hollywood des années 40, qui a payé très cher ses convictions communistes.
Propos recueillis par Marion Olité
