Game of Thrones : la revanche de Cersei aurait dû être plus cruelle

Game of Thrones : la revanche de Cersei aurait dû être plus cruelle

photo de profil

Par Adrien Delage

Publié le

Lena Headey s’est confiée sur la scène de torture de la Septa Unella, qui aurait dû être bien plus visuelle que la scène finale.

Si le “shame” insupportable prononcé en boucle par la Septa Unella pendant la Marche de la honte de Cersei vous trotte encore en tête, que vous aimez bien la Reine mère (et que vous êtes ainsi un psychopathe), vous avez certainement lâché un petit rire sadique lors de sa vengeance mise à exécution pendant le season finale. Pourtant, la scène prévue au départ était beaucoup plus sombre et cruelle.
Au vu de la violence présente dans l’œuvre de George R.R. Martin et de la série, de nombreux fans en ont conclu que la Septa Unella allait être sexuellement agressée par la Montagne. Le passif de Gregor Clegane va d’ailleurs dans ce sens.
Des années avant de littéralement exploser la tête d’Oberyn Martell, le larbin de Cersei avait écrasé contre un mur le fils du Prince Rhaegar Targaryen, Aegon. Le nourrisson n’était âgé que de quelques mois. Il avait ensuite violé et tué Elia Martell, la femme de Rhaegar, alors que le sang de leur enfant était encore sur son armure.

Lena Headey, qui incarne Cersei, a confié à Entertainment Weekly que la scène originale aurait dû être beaucoup plus explicite et brutale que ce qu’on voit finalement à l’écran :

À voir aussi sur Konbini

“C’est aussi immonde que génial. Tout le monde est témoin de ce qu’il s’est passé entre les deux. Je ne pense pas que les gens seront capable de s’extasier non plus. Mais c’est tellement pervers, c’est incroyable. Cette scène devait être bien pire, mais ils ne pouvaient pas le faire. C’est une version aseptisée.”

En somme, la Montagne version Frankenstein au service de Cersei, ne risque pas d’être devenu un enfant de chœur. On peut tout à fait imaginer qu’il a violé ou brisé les os de la Septa Unella un par un.
Quoiqu’il en soit, les scénaristes ont astucieusement décidé de refermer la porte de la salle de torture, et de vous laisser imaginer les pires supplices.