Le meilleur moyen pour envoyer des “Kamé Hamé Ha” monétaires dans la gueule de tes potes.
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En 2016, les magasins Manga Story de Paris osaient diffuser un terrible poisson d’avril aux fans français de Dragon Ball Z en annonçant l’arrivée d’un Monopoly aux couleurs de la franchise nippone. Alors que des versions Game of Thrones et The Walking Dead sont déjà vendues dans le commerce, les adeptes de Son Gokû étaient toujours orphelins du célèbre jeu de société dans une édition reprenant l’univers créé par Akira Toriyama au milieu des années 1980. Mais ce jour est enfin arrivé et tout porte à croire que Monopoly a invoqué le dragon Shenron pour exaucer nos vœux.
Sur le site USAopoly, le Monopoly Dragon Ball Z est d’ores et déjà pré-commandable et sera commercialisé aux États-Unis et au Canada. S’il n’a pas encore de date de sortie, il faudra très probablement le faire importer pour l’obtenir en France. Le jeu de société coûtera 39,95 dollars à sa sortie. Les créateurs ont comme toujours fait des efforts pour reprendre des éléments de la thématique et les incorporer au concept de base.
Concernant les six pions du jeu, ils reproduisent l’épée de Trunks, une capsule de la Capsule Corp., la boule de cristal à quatre étoiles, la boussole de Bulma, une armure de saiyan et la carapace de Kamé Sennin. Sur le plateau de jeu personnalisé pour l’occasion, on retrouve des représentations de Son Gokû, Son Gohan jeune, Vegeta et Trunks du futur, tous les quatre transformés en Super Saiyan.
Les maisons sont à l’effigie de la Kame House, tandis que les hôtels reprennent le design de la salle de l’Esprit et du Temps, qu’on trouve au sein du palais de Dieu. Enfin, les cartes “Chance” et “Caisse de communauté” ont été respectivement remplacées par la Capsule Corp. et l’armée du Ruban Rouge.
Toutefois, les premières images dévoilées nous font penser que le jeu est à l’état de prototype. Les cases “Gardien de prison”, “Visite en prison”, “Parking” et de départ arborent le look commun des jeux de Monopoly. C’est un poil décevant si les créateurs n’utilisent pas le gigantesque monde que leur offre l’univers de Dragon Ball Z, à l’instar des planètes comme Namek et Kaïo, ou encore du royaume d’Enma.
