“Toutes les séries ont la même structure épisodique qu’on a toujours connue, mais Skam mime la manière dont sa cible interagit réellement avec les médias. Les téléspectateurs sont impliqués dans la série parce que les réseaux sociaux sont utilisés comme assistance. […] Les gens s’engagent, car ils actualisent leurs réseaux sociaux et attendent de voir si les personnages ont posté quelque chose de nouveau sur leur profil. C’est la seule série que j’ai pu voir qui fait preuve d’un tel usage positif des médias sociaux.”
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En revanche, ce cours n’aura rien de simple. Les futurs étudiants devront s’attendre à devoir analyser des textes scientifiques, la série servant seulement à illustrer les propos de ces derniers. Les étudiants en master les plus aguerris pourront mettre sur pied leur propre pilote de Web-série, tout en se calquant sur la méthode Skam bien évidemment. Pas de chance pour les fans ne maîtrisant pas le norvégien, ce cours ne sera proposé que dans la langue du pays. Too bad.
