White Gold : une comédie savoureuse avec Ed Westwick en Chuck Bass british

White Gold : une comédie savoureuse avec Ed Westwick en Chuck Bass british

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Par Mégane Choquet

Publié le

Avis aux amateurs de comédies britanniques et des années 1980, White Gold est une petite perle british dans laquelle Ed Westwick nous fait du charme. Attention, spoilers.

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En 1983, un trio de commerciaux sévit à Basildon dans le comté de l’Essex au Royaume-Uni afin d’escroquer le plus d’idiots possible. Les rois de la magouille jouent de leur charme et de leur tchatche naturels afin d’enchaîner les contrats et s’en mettre plein les poches. Ce qu’ils vendent ? Du double vitrage et des plinthes de fenêtres en PVC. Pas très sexy dit comme ça et, pourtant, c’est cette matière en plastique, produite pour pas grand-chose mais vendu au prix fort, que ces commerciaux vont considérer comme de l'”or blanc” à cette époque. Un marché qui permet donc à tout commercial qui se respecte de vivre comme un prince, s’il est bon.
Dans une ambiance sex, drugs and rock’n’roll, le créateur Damon Beesley, à qui l’on doit la franchise The Inbetweeners, nous entraîne dans ce petit monde anglais déjanté sur lequel règne Vincent Swan. Ce commercial charismatique, interprété par Ed Westwick, est un branleur et beau parleur qui imagine les combines les plus sophistiquées pour avoir sa part du gâteau dans l’industrie. Il peut compter sur l’aide de ses deux acolytes, Brian Fitzpatrick (James Buckley) et Martin Lavender (Joe Thomas), qui l’accompagnent joyeusement dans ses aventures délirantes.

Sex, drugs, PVC and rock’n’roll