Fresh Faces : 8 nouveaux visages qui vont marquer les séries de 2019

Fresh Faces : 8 nouveaux visages qui vont marquer les séries de 2019

photo de profil

Par Florian Ques

Publié le

Ils sont jeunes, beaux et prometteurs : voici les talents qu’on a hâte de (re)découvrir sur nos écrans durant l’année à venir (et au-delà).

À voir aussi sur Konbini

Quand on mate une série, qu’elle soit nouvelle ou fasse partie de nos incontournables, on est toujours contents de retrouver les bouilles des acteurs et actrices qu’on connaît bien. Que ce soit en tête d’affiche, dans un rôle secondaire ou même lors d’un petit caméo. Mais là où c’est encore mieux, c’est quand on démarre une série, qu’on y découvre des visages inconnus aux bataillons et qu’on a tout de go envie de les recroiser à l’écran. Parce que 2019 sera riche en séries, on a listé huit comédien·ne·s plus ou moins novices sur lesquel·le·s on mise déjà.

Sydney Sweeney dans Euphoria

© HBO

En 2018 déjà, il devient un brin compliqué de passer à côté de Sydney Sweeney. Les fervent·e·s abonné·e·s Netflix l’auront croisée en train d’arpenter les couloirs du lycée d’Everything Sucks! avant qu’elle ne trouve refuge chez son rival, Hulu, pour rejoindre la deuxième saison du hit glaçant The Handmaid’s Tale. Dans cette prestation remarquée, la jeune actrice d’alors 20 ans s’est glissée dans la peau d’une adolescente tiraillée entre sa foi et son désir. Et parce que jamais deux sans trois, Sydney a également occupé un petit rôle dans la mini-série de l’été acclamée par la critique, Sharp Objects. Un sans-faute qui devrait se prolonger jusqu’en 2019, tandis qu’elle sera au casting d’Euphoria, la première série pour ados de HBO. Au vu de l’envergure du projet et de ses premières apparitions notables, on lui prédit un avenir radieux.

Jack Bannon dans Pennyworth

© ITV

Si son joli minois ne nous évoque pas forcément grand-chose de prime abord, Jack Bannon est pourtant apparu dans bon nombre de productions outre-Manche. Nos voisins british ont par exemple pu le croiser dans des séries policières comme Les Enquêtes de Morse ou encore The Loch, mais on se souvient surtout de lui dans la saison inaugurale de Clique, où il incarnait un banquier impliqué dans une affaire des plus louches. Grâce à Pennyworth, prequel de l’univers Batman, Jack Bannon participera à sa toute première série américaine. Il se glissera dans la peau d’Alfred, un ex-soldat souhaitant ouvrir son agence de sécurité privée… pour mieux devenir le fameux majordome du Chevalier Noir.

Izabela Vidovic dans Veronica Mars

© The CW

C’est à l’âge de 10 ans à peine qu’Izabela Vidovic, née à Chicago de parents croates, a inauguré sa carrière de comédienne. Depuis, elle fait doucement mais sûrement son nid sur la petite lucarne, enchaînant des seconds rôles, parfois anecdotiques… et parfois pas du tout. Un exemple ? Les fans assidus de The 100 se souviennent d’elle pour avoir interprété Charlotte, une gamine qui se suicide en sautant du haut d’une falaise – l’une des morts les plus choquantes de la série. Par la suite, on a pu l’entrevoir dans The Fosters et, plus récemment, dans iZombie sous les traits d’une ado naturellement immunisée contre le virus transformant en mort-vivant. On a hâte de la croiser en 2019 en train d’arpenter les rues de Neptune, puisqu’elle fera partie du revival miraculeux de Veronica Mars.

Damson Idris dans The Twilight Zone

© FX

Petit dernier d’une famille nombreuse, Damson Idris se destinait à une carrière pro dans le football avant de se rabattre sur le métier d’acteur. Et ça, c’est une décision qu’on ne regrette pas car on prend plaisir à le retrouver chaque été dans Snowfall. Bien qu’il ait fait des caméos çà et là dans des productions britanniques, étant lui-même un Londonien pure souche, c’est le rôle de Franklin Saint, jeune dealer de cocaïne dans le LA des années 1980, qui a révélé Damson. Mais là où on crève d’envie de le voir à l’œuvre, c’est dans le reboot de l’horrifique The Twilight Zone (La Quatrième Dimension en VF), showrunné par Jordan Peele à qui on doit l’excellent Get Out, carton critique de 2017.

Lana Condor dans Deadly Class

© Netflix

Pour le coup, nombreux·ses sont les ados (mais pas que) à connaître son nom. L’été passé, Lana Condor a connu son heure de gloire en incarnant la candide Lara Jean dans l’adaptation du best-seller À tous les garçons que j’ai aimés, produit par Netflix. Mais si c’est ce rôle-là qui l’a jetée sous le feu des projecteurs, son premier film – sa première apparition tout court, ciné et séries confondus – n’est autre que X-Men : Apocalypse, où elle a enfilé le costume de Jubilee, une mutante capable de balancer des boules d’énergie. À présent, Lana change encore de registre et sera l’une des stars de Deadly Class, où elle deviendra une ex-yakuza retranchée dans une école spéciale pour jeunes criminel·le·s.

Kristine Froseth dans Looking for Alaska

© Netflix

Avec sa bouille angélique et son regard perçant, difficile de ne pas s’attarder sur Kristine Froseth. Originaire des terres froides de Norvège, elle s’est d’abord fait un petit nom dans le milieu du mannequinat, défilant et posant pour de grandes marques comme Miu Miu ou H&M. Mais pour les abonné·e·s Netflix, ce n’est qu’en 2018 que Kristine a commencé à exister en jouant les pestes au grand cœur dans Sierra Burgess Is a Loser. C’est une affaire qui roule avec le géant de la SVoD, puisqu’on la recroise quelques semaines plus tard à l’affiche du très graphique Apostle. Pour ce qui est des séries, en plus d’un rôle secondaire dans le format court Junior chez Blackpills, Kristine a fait ses preuves dans La Vérité sur l’affaire Harry Quebert aux côtés de Patrick Dempsey. Mais là où on l’attend au tournant, c’est sur l’adaptation en série de Looking for Alaska, roman signé John Green, qui avait déjà mis nos glandes lacrymales à rude épreuve avec Nos étoiles contraires.

Avan Jogia dans Now Apocalypse

© Syfy

Alors, oui, techniquement, Avan Jogia n’en est pas à son coup d’essai. L’acteur canadien de 26 ans a démarré dans la sitcom Victorious, alors qu’il n’était encore qu’un ado, au côté d’une certaine Ariana Grande notamment. Puis, au fil des années, il a enchaîné les séries relativement oubliables, à l’instar de Twisted, une sorte de sous-Pretty Little Liars (c’est dire), ou encore Tut, où il incarnait nul autre que le pharaon Toutânkhamon himself. Mais là où on a hâte de le voir à l’œuvre, c’est dans la prometteuse Now Apocalypse, où il interprétera un vingtenaire habitant Los Angeles qui se met à avoir des rêves prémonitoires. Si on est si enthousiasmé par ce projet, c’est surtout parce que la série sera coécrite par Gregg Araki (Myserious Skin) et produite par Steven Soderbergh.

Anya Chalotra dans The Witcher

© BBC

Dans le genre adaptation d’œuvre à succès, difficile de faire plus attendue que The Witcher. Lorsque Netflix a mis le grappin dessus, les fanas de la franchise sont devenus dingues, et ce n’était rien comparé au moment où le casting principal a été annoncé. La pression est désormais sur les épaules d’Anya Chalotra, dont la carrière en est à ses balbutiements. Originaire de Wolverhampton, métropole britannique, l’actrice a fait ses débuts en 2018 sur la petite lucarne. En effet, dans la série méconnue Wanderlust, elle s’est glissée dans la peau de Jennifer, le crush inaccessible d’un des personnages principaux. Son prochain rôle dans The Witcher n’est pas très loin, du moins orthographiquement parlant, puisqu’elle jouera Yennefer, puissante magicienne réputée pour sa plastique avantageuse.