Trailer : La Chronique des Bridgerton a des airs de Gossip Girl en costume

Trailer : La Chronique des Bridgerton a des airs de Gossip Girl en costume

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Par Marion Olité

Publié le

Le Shondaland débarque sur Netflix !

En plus de Ryan Murphy, Netflix a aussi passé un deal faramineux (on parle de 150 millions de dollars) en 2017 avec l’autre showrunneuse ultra-prolifique des années 2010, j’ai nommé Shonda Rhimes. Alors que Grey’s Anatomy, sa série phare, donne des signes de lassitude et que How to Get Away with Murder touche à sa fin, la super-productrice a assuré ses arrières avec cette nouvelle collaboration, dont le premier fruit sera La Chronique des Bridgerton.

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Il s’agit de l’adaptation d’une série de romans à succès signée Julia Quinn. L’histoire prend place dans les années 1800 et tourne autour des scandaleuses intrigues de la haute société londonienne, pendant la période de la Régence anglaise. On entre dans ce monde à la Downton Abbey par la perspective de Daphne Bridgerton (Phoebe Dynevor), une jeune héritière propulsée dans l’impitoyable marché des mariages. Elle espère, comme ses parents, tomber sur la perle rare et faire un mariage d’amour, mais le mari idéal se fait attendre. Elle va alors faire la rencontre d’un prétendant du genre rebelle, le duc d’Hasting (Regé-Jean Page).

Pour ajouter un peu de piquant à l’affaire, l’histoire nous est contée par la voix de Julie Andrews, qui incarne la mystérieuse Lady Whistledown, une femme qui tient un journal de gossips et ne cesse de s’en prendre à Daphne. Un premier trailer a été dévoilé en ce début de mois de novembre, ainsi qu’une date de diffusion.

Créée par Chris Van Dusen, un scénariste du Shondaland* (il a bossé sur Grey’s Anatomy et Private Practice), cette nouvelle sucrerie débarquera comme il se doit le jour de Noël, le 25 décembre 2020. L’ambiance est clairement inspirée du classique littéraire de Jane Austen, Orgueil et Préjugés, avec une touche de modernité qui passe par la présence d’une “gossip girl” et d’un casting inclusif et colorblind – c’est-à-dire que les personnages racisés et blancs sont traités sur un pied d’égalité. Ce qu’on ne voit quasiment jamais dans les œuvres d’époque, à part chez Ryan Murphy, qui a récemment produit une œuvre dans la même veine avec Hollywood. Notons d’ailleurs que La Chronique des Bridgerton est la première série d’époque produite par le Shondaland. 

*C’est ainsi que Shonda Rhimes a surnommé son empire, ses séries et celles qu’elle produit, ainsi que toutes les personnes qui travaillent en collaboration avec elle.