Comment se saper comme Jeremy Allen White pour aller chercher des asperges au marché

Comment se saper comme Jeremy Allen White pour aller chercher des asperges au marché

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© MEGA / GC Images / Getty Images

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Par Pharrell Arot

Publié le

Vu le prix des premières asperges, autant bien s’habiller.

Cet article a d’abord été publié dans notre newsletter Fast Forward le 28 mars 2024.

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Vous avez forcément déjà vu passer des photos de Jeremy Allen White les bras chargés de fleurs au farmers market. N’en déplaise à ma collègue Mélissa qui a déjà taillé un tablier à l’acteur de The Bear, l’arrivée des beaux jours et des premiers fruits et légumes de printemps sur les étals nous donne envie d’imiter le style “négligé mais ultrastylé” du boyfriend de Rosalía. On n’a peut-être pas le même regard, mais on peut avoir le même pantalon, c’est déjà ça de pris, non ?

Pour ce faire, on s’est aussi dit qu’on était nous aussi des A-list de Hollywood, histoire de ne pas penser budget, et on a glissé dans notre panier imaginaire quelques pièces printanières qu’on verrait bien sur le moodboard de ce bon Jeremy.

Aux pieds : deux options, soit on prend exemple une fois de plus sur le Carmy de notre rédac, notre chic Robin Panfili, et on opte pour notre paire de baskets blanches la plus usée – parce qu’on n’a jamais rien fait de mieux qu’une paire d’Air Force en fin de vie –, soit on sort sa plus belle paire de chaussettes épaisses et une paire des nouvelles Birkenstock Boston en suède bleu avec une boucle tressée.

© Birkenstock

En bas : un denim bien droit et bien washed, en faisant soit simple avec un Levi’s 514 de seconde main, soit connoisseur avec un CS-101xs made in USA de chez 3sixteen.

En haut : un tee-shirt blanc en base, évidemment, genre un Pro Club heavyweight de chez Suuupply, et pour l’habiller, on opte pour un pull camionneur, comme ce très beau spécimen de chez Our Legacy, une petite veste sans manches en laine de chez Universal Works ou une évidente surchemise aux manches juste relevées, comme la Hayworth en “dollar green” de la nouvelle collection Carhartt WIP.

Sur la tête : une casquette bien usée de notre franchise de baseball préférée, forcément, ou, si on est plus Paris que New York, une casquette de chez Patine, à la forme parfaite, qu’on laissera s’user (ou se patiner, duh!) au soleil toute la saison sur notre caboche.

Dans les bras : une grosse brassée de chez Debeaulieu, qui vient de faire la scéno florale d’Arca à la Bourse de Commerce, qu’on glisse dans le tote bag de la collab entre Kith et le jardin botanique de New York.

Bon, maintenant, reste plus qu’à tomber sous le charme des paparazzis dans la queue du primeur.