#NOS4A2. Coming to @AMC_TV this summer. pic.twitter.com/CwGP7aUrNC
— NOS4A2 (@NOS4A2_AMC) 4 mars 2019
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Dans la droite lignée de celle de son paternel, Stephen King, l’œuvre de Joe Hill est de plus en plus souvent transposée sur le grand et le petit écran. Après le Horns d’Alexandre Aja en 2014, Netflix prépare une adaptation des comics cultes Locke and Key tandis que AMC a commencé à teaser l’arrivée du show adapté de NOS4A2 (Nosfera2 en français). Il s’agit du quatrième roman écrit par l’auteur américain, publié pour la première fois en 2013, qui témoigne du talent de la famille King dans les genres du fantastique et de l’horreur.
Le roman conte l’histoire de Vic Queen (Ashleigh Cummings), une lycéenne en terminale prise pour cible par un tueur en série appelé Charlie Manx (Zachary Quinto, American Horror Story). De manière périodique, le psychopathe, qui a une apparence monstrueuse et des pouvoirs obscurs, kidnappe des adolescents pour les séquestrer dans Christmasland, un monde fantastique qu’il a créé. Son apparence vampirique rappelle le Nosferatu de Friedrich Wilhelm Murnau, mais le titre de l’ouvrage a surtout un rapport avec la voiture du serial killer et leur relation très personnelle.
Dans la première bande-annonce, on remarque que Vic semble avoir des visions de son stalker monstrueux, qui évoque les cauchemars de la saga Freddy. On peut également apercevoir très rapidement “The Wraith” (le spectre), le surnom que Vic donne à Charlie, aussi en lien avec la voiture de ce dernier. Une atmosphère bien creepy et angoissante se dégage du teaser, qui annonce la sortie de la série pour cet été sur AMC outre-Atlantique.
Nous retrouverons également Ebon Moss-Bachrach (Micro dans The Punisher), Ólafur Darri Ólafsson (Dewall Ledoux dans True Detective), Virginia Kull (Big Little Lies) et la youtubeuse Sailor J au casting de la série. Pour le moment, NOS4A2 est prévue comme une saison de dix épisodes. Mais le showrunner Jami O’Brien espère que le succès sera au rendez-vous afin de créer un véritable “Joe Hill Universe” sur le petit écran. Car comme ceux de son père avant lui, les récits de l’écrivain se déroulent dans le même univers et se font régulièrement écho. Souhaitons-lui une meilleure réussite que les œuvres de son paternel dans le monde sans pitié des séries.
